mardi 20 mars 2012

Quelle Mobilisation!

Une brève en cette veille de scrutin.

Des murs entiers couverts de listes et de professions de foi. Un nombre de listes impressionnant. 

Un intérêt pour une élection jamais atteint!

Nous n’avons bien entendu pas encore le recul nécessaire pour analyser les raisons d’une telle mobilisation civique. Peut-être y-ai-je un peu contribué au travers de ce blog ? Si c’est le cas, tant mieux.
La palme de la mobilisation revient sans conteste à nos collègues Biatss avec 7 listes pour trois sièges à pourvoir. Bravo à eux.

Phénomène encore plus rare, la fièvre civique a été contagieuse!!!

Elle a gagné des collègues d’habitude fort peu intéressés par nos débats internes.

Rendez-vous compte. Lors de la dernière commission électorale du 16 mars dernier, pas moins de 37 enseignants vacataires ont obtenu, à leur demande expresse, l’inscription sur les listes électorales. 

Une contagion bien circonscrite car parmi eux, 27 interviennent à l’IUT dont 14 pour le seul département GEA !
Le département GEA, c’est 19 titulaires. Alors imaginez la propagation de l’épidémie à l’échelle de notre établissement ! Nous n’en sommes pas là. 

J’espère simplement que les nouveaux inscrits se déplaceront pour voter ou que l’on a pensé à leur demander leur procuration, sinon ça va faire baisser le taux de participation !

dimanche 5 février 2012

Première contribution

Une cinquantaine !

Aux dernières nouvelles, nous ne sommes pas très nombreux à nous être inscrits pour la première réunion  publique valenciennoise, des Assises Régionales Pour la Recherche et l'Enseignement Supérieur.

Notre université est néanmoins prudente. Cela se passera dans le minuscule amphi 100 de l’ISTV.
Ambiance coocooning  garantie! Contact aux stars aussi!
Une photo bien cadrée et l’illusion d'une foule ayant répondu à l’appel sera parfaite. Madame la Vice-présidente Rousseau craignait d’être en prise avec le débat interne de l’UVHC. Plus de danger!

Vous connaissez bien les critiques que je porte depuis plusieurs mois sur le management de ces assises. Cela ne m’empêche pas d’appeler à y participer et à y contribuer.

Contribuer, participer à la grand messe pour peser dans le débat.

Peut-être vous demandez-vous encore ce que peut-être une contribution? Lisez donc la synthèse des travaux et recommandations de la "Mission d’appui à la réflexion stratégique et prospective de l’Etat sur l’Enseignement supérieur et la Recherche en Nord-Pas de Calais".

Toute fraiche, commanditée par la Préfecture de Région Nord-Pas de Calais et la DATAR.

C’est une vraie et bonne synthèse, on y trouve ce que nous connaissons ou supposions. C’est peu complaisant mais écrit tout de même sur un mode lénifiant. Au vu des conclusions, il ne s’agit surtout pas « braquer » trop vite la moindre partie prenante!

Bien entendu, il ne s’agit pas d’une contribution officielle, mais qui aura la naïveté de croire que ce document ne préfigure pas la position de l’état?

Si vous n’avez ni la patience ou ni le temps de lire le document en entier, passez directement à la page 7 pour y trouver la première recommandation (cela devrait, de plus, vous donner l’envie de lire le reste !). On y découvre la proposition de création d’un futur Comité Stratégique et prospectif pour l’enseignement supérieur et la recherche (CSPESR), réuni à l’initiative de l’état et, surtout, on y lit en conclusion :

« Ce comité, le PRES et l’université de Lille sont vus comme les trois piliers de la stratégie régionale en matière d’excellence, visibilité et performance » (sic)

A lire dans la perspective d’un éventuel contrat de projet état-région 2014-2020!

Je vous laisse méditer.

Le CSPESR,….pas encore né. L’université de Lille , …..en gestation. Le PRES, …. qui ne mûrit pas et plusieurs fois critiqué en creux dans le document (absence de lieu de priorisation ou d’assemblage, absence de lieu de capitalisation..). Les trois piliers de la stratégie qui s’appliqueraient à nous demain. Trois piliers sur le berceau desquels les bonnes fées sont néanmoins en train de se pencher en pleines assises régionales.

En matière de contribution ou préparation à contribution aux dites assises, c’est la première que je connaisse mais c’est du lourd !

Alors, au risque de me répéter. Pour peser dans le débat, pour exister aux yeux des décideurs, pour influer sur notre avenir ....    

Bougez. Contribuez !

jeudi 26 janvier 2012

Prévisible

Vous rappelez-vous le troisième A du début de ma chronique TRIPLE A?

A comme anachronique. Pour des Assises, mal programmées, qui  vont s’inviter dans le débat des élections pour le renouvellement des conseils et des présidents de nos universités.

C’est fait, le télescopage est là.

Ci-dessous un petit extrait de mails échangés avec le secrétariat de Madame Rousseau.

Bonjour Monsieur LEVEL,

Afin de ne pas être en prise avec le débat interne à l'Université de Valenciennes, Madame Sandrine ROUSSEAU ne souhaite plus participer à la rencontre prévue le 9 février .

Elle a déjà par ailleurs présenté les Assises de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche aux membres du Conseil d'administration de l'UVHC ce matin et participera aux diiférents ateliers territoriaux dans les semaines qui viennent, notamment à Valenciennes le mardi 7 février.

Vous priant de bien vouloir l' excuser,
Cordialement  (26 janvier 2012)


Mail qui fait suite à,

Bonjour Monsieur LEVEL,

Je vous confirme donc la date du 9 février, à 16h30 ?
merci de me faire savoir si l'horaire vous convient, et le lieu exact.
merci par avance,
Cordialement (8 décembre 2011)


Les assises interfèrent avec le débat interne de notre université!

L'annulation de cette rencontre est un micro événement. Une poussière au regard des enjeux. Un télescopage sans conséquence.  

Mais démonstration est faite. Ce n’est plus seulement moi qui le dit. C’est écrit dans le mail d’annulation du 26 janvier qui associe sans équivoque débat interne et assises.

Ce n’est qu’un début. Cela se passera encore ici et sur d'autres sites. Espérons que cela sera toujours aussi visible et anodin.

Relisez bien TRIPLE A. Ce n’est pas que de l’ironie gratuite. La chronique contient probablement d’autres analyses qui sont justes.

Invitation hier, annulation aujourd’hui!

Je suis désolé de ne pas pouvoir vous offrir ce petit moment de débat le 9 février prochain et je vous présente mes excuses pour cette fausse joie et pour le temps que je vous ai peut-être fait perdre.

 Reste le 7 février et APRES.

Après….

mercredi 25 janvier 2012

INVITATION(S)


Le 5 décembre dernier, je vous annonçais la bonne nouvelle, les Assises régionales de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, dont nous n’entendions plus parler depuis juin, se tiendraient bel et bien. Je ne pouvais pas donner plus de précisions.

Aujourd’hui le processus prend corps.

La région a sollicité une assistance à maîtrise d’ouvrage privée. La société DMS nous a contactés pour préciser un calendrier de rendez-vous d’information.

Ce sera (première invitation) le 7 février de 10 à 12h pour l’UVHC. 

Le site web dédié aux assises est en place. Je ne l’ai pas encore testé. Il se présente cependant comme une véritable (seconde) invitation à participer, à contribuer.

Les promoteurs du site n’ont pas pu résister à la mode des acronymes. Nous nous connecterons donc sur le site APRES

Après quoi me direz-vous ?

Après quoi ?….ben après rien. APRES c’est le nom. Après-tout, ce nom en vaut un autre, non ? 

Ce n’est pas rien APRES. Avant je vous explique. APRES, ce n’est pas l’aventure. Avec APRES, il      faut travailler avant. Puis après, on se connecte sur APRES et on peut rentrer le travail qu’on a fait      avant. 

Et après? Après, avant que APRES soit fermé, on a peut être le temps de refaire un travail avant de le  soumettre sur APRES.

(à la Devos, en toute modestie. Soumettez-moi une suite ou une variante et je publie les meilleures. C’est mon blog, je suis seul juge…)

Sérieusement. Vous l’avez compris. Avec APRES, il y a un avant !

Il faut comprendre, s’informer, débattre, produire des contributions, des avis.

La présidence de l’université l’a également compris. Après mon invitation, transmise dès novembre, Madame la Vice-présidente Rousseau, a également reçu une invitation (et de trois) de l’université à venir présenter les Assises le 26 janvier devant les élus uniquement (assemblée peut être un peu étendue, mais je n’ai pas l’information complète).

Avant de protester, lisez ce qui vient après.

Comme annoncé dès décembre, sur « Parlons UVHC »,  Madame la Vice-présidente Rousseau confirme qu’elle souhaite également vous rencontrer pour présenter en personne les Assises régionales de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche. Merci Madame.

 (quatrième et dernière) INVITATION

Venez nombreux rencontrer et commencer le débat avec Madame la Vice-présidente Sandrine Rousseau,  le 9 février 2012 à 16h30 à l’ISTV 1 (bâtiment Abel  de Pujol1) amphi 200

Quatre  invitations en un seul message !

La première, la seconde et la quatrième sont adressées à tous. Soyez nombreux, convainquez–vous de l’importance du sujet. Puis après, contribuez sur APRES avant qu’il soit fermé. Pour les contributeurs, il y aura  un avant APRES et un après APRES. Après il sera trop tard. Gare au syndrome de manque !









mercredi 11 janvier 2012

UVHC-Présidentielle 2012-2

La logique d’une campagne électorale à deux scrutins (voir chronique précédente) induite par la loi relative aux Libertés et Responsabilités des Université, la LRU vaut pour les quatre collèges électoraux de l’UVHC, étudiant (5 représentants) , Biatss (3 représentants), collèges B et A des enseignants (7 représentants chacun) définis dans les statuts UVHC

Le mode électoral pour les collèges A et B des enseignants mérite une analyse à part entière.

Dans leur cas, la loi LRU instaure une prime à la liste gagnante. Il s’agit de transformer la victoire relative d’une liste en une majorité absolue. La lecture de la simulation de scrutin accessible ici est nécessaire pour la suite de cette chronique.

En collège A ou B, dans tous les cas, seules trois listes peuvent prétendre obtenir un élu.
Le scrutin est brutal. L’absence de second tour ne permet pas la fusion de listes au profit de l’émergence d’un vrai pôle majoritaire issu d’un décompte de voix à l’issu du scrutin.

Quelles conséquences ?

La présence parfaitement légitime, de quatre listes ou plus, a pour conséquence probable (distribution des voix sur un plus grand nombre de liste) la baisse du nombre de voix qui se portent sur la liste gagnante. Cette victoire, numériquement plus faible, donne cependant la même majorité absolue à la liste gagnante. (cas 4 de la simulation). La légitimité de cette majorité ainsi obtenue en sera d’autant plus faible.

Comment peut-on arriver à la présence de plus de trois listes ?

L’élection au « suffrage universel indirect », induit quasiment l’obligation d’une liste collège A et B par candidat.

Le nombre faible d’élus par collège ne garantit pas la présence d’au moins un élu par composante ou par sensibilité. La tentation est donc forte pour des composantes de construire des listes pour essayer de garantir la présence d’au moins un des leurs dans le CA. Le raisonnement vaut pour les « sensibilités » qui peuvent être, par exemple, de nature syndicale, sectorielle comme la recherche ou autre encore.

La somme de ces aspirations légitimes peut donc rapidement conduire à un nombre de listes important.

Par ailleurs, l'élection du président par séquence de scrutin peut  favoriser l’émergence de listes d’influence, voire de nuisance, dont l’objectif n’est pas tant la défense d’un projet global pour l’université que l’instauration d’un rapport de force pré-électoral en faveur d’intérêts très partiels, même si légitimes !


D’autres effets induits par le nouveau mode d’élection du président concernent, par exemple, le poids du vote étudiant. Vous pourrez lire utilement ce qu’en dit Pierre Dubois et d’autres blogueurs sur « Histoires d’Universités ».

Le mode de scrutin est trop nouveau pour pouvoir prétendre faire le tour de toutes les combinaisons qu'il offre.
En matière de démocratie, information et vigilance doivent toujours être de mise.

J'espère y avoir contribué

UVHC-Présidentielle 2012-1

En 2012, l’Université de Valenciennes, comme beaucoup d’universités françaises va élire son  Président, peut-être le dixième du nom dans le cas de Valenciennes. Pour la seconde fois, après 2010, cette élection va se dérouler selon les termes fixés par la loi de 2007, loi relative aux Libertés et Responsabilités des Université, la fameuse LRU, transcrite dans les statuts de l’université .

Dans son article 6, la loi instaure donc un phasage fort et institutionnel entre l’élection des membres du Conseil d’Administration et l’élection du Président.
C’est d’ailleurs le sens du message que l’on trouve sur le site de l’UVHC qui parle de la séquence électorale de mars 2012.

L’élection UVHC 2010, selon le mode LRU, était un cas particulier puisque, gestion de la période transitoire oblige, le phasage élection au CA-élection du président n’était pas de mise, l’université ayant appliqué en 2008 les dispositions transitoires décrites dans l’article 43 de la loi. En conséquence, le CA qui a élu le président en 2010 était issu d’un scrutin de 2008.

En 2012, pour la première fois, le phasage est total.

A ma connaissance, les élections pour les étudiants et les enseignants auront lieu les 20 et 22 mars 2012, et l’élection du Président dans les jours qui suivront.

Il s’agira donc, même si la loi ne le formule pas en ces termes, d'une GRANDE PREMIERE, de l’élection du président de l’université au SUFFRAGE UNIVERSEL INDIRECT.

Pour la première fois, donc, les électeurs de l’université vont avoir la possibilité d’exprimer leur préférence pour un candidat au travers de leur vote pour l’une ou l’autre des listes qui seront en compétition pour le conseil d’administration.

Deux scrutins certes, mais de fait une seule campagne électorale !

A la condition bien sûr, que ces listes affichent clairement le candidat qu’elles soutiennent.

Peut-il en être autrement ?
Quelle liste pourra faire croire, qu’elle attend le soir de l’élection au CA pour se déterminer en faveur de l’un ou l’autre ?
Quelle liste oserait ainsi demander aux électeurs un tel chèque en blanc, alors que ces mêmes électeurs auront la possibilité de choisir nominativement leur futur président ?

Cautionner de telles listes, revient de fait à se faire voler sa voix.

Quel électeur sera assez naïf pour croire un discours qui expliquerait que ce n’est pas l’esprit de la loi, ou que les futurs élus au CA deviendraient, au soir de leur élection, des sages qui se détermineraient en quelques heures sur tel programme ou tel candidat, alors que la campagne aura battu son plein pendant plusieurs semaines ?

Donc deux scrutins et une seule campagne électorale qui sera, de fait, celle des candidats au poste de président adossés à des listes qui les soutiennent sans ambiguïté. 
J’entends souvent parler d’un parallèle avec les élections municipales. C’est oublier que pour l'élection universitaire, il y a découpage en collège électoraux, qu'il n’y a aucune obligation du candidat à être présent sur une liste et que l’organisation se fait en un seul tour de scrutin.

Alors surtout n’oubliez pas, la veille du vote de demander à chaque liste, quel est le candidat et le programme pour lesquels elle roule !!!

samedi 7 janvier 2012

TRIPLE A

Un frémissement du coté des Assises régionales de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche.

La région en a confié l’assistance à maîtrise d’ouvrage à un acteur « pro », l'agence DMS Conseil dont le site internet annonce un paquet de références mais pas de résultats.
Revenons vite aux assises.

Un semestre de mutisme après l’annonce du lancement de juin dernier (voir chroniques « Le saviez vous  » et « Bonne nouvelle »), ça fait plus amateur que « pro ». On peut donc raisonnablement supposer que le nouvel acteur « pro » n’est pas présent depuis longtemps dans le dossier des Assises régionales de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, sinon, cela ferait un peu « mou » comme début d’assistance à la maîtrise d’ouvrage!

Les Assises régionales de l’Enseignement  Supérieur et de la Recherche ont donc passé les fêtes de fin d’année avec leur triple A.

 
A pour le caractère Amateur de ce lancement poussif !
A comme Apathiques avec six mois de pré-hibernation
A, enfin, comme Anachroniques.


L’anachronisme est double. 

L’un relève du passé récent. Il est dommage que la volonté de se doter d’un schéma régional de l’enseignement supérieur et de la recherche se manifeste après la grosse vague des appels à projets structurant du PIA . Manque de volonté, manque de vision d’avenir, manque d’intérêt peut être. J’écrirai probablement un jour sur ce sujet.

Le second anachronisme est présent. Il ne vous a pas échappé que plusieurs universités de notre région vont renouveler leurs instances dirigeantes au printemps prochain. Le débat régional -les assises- va donc s’inviter dans  les campagnes électorales universitaires !
En matière de sérénité nécessaire à la conduite d’un projet d’une telle ambition –les assises- on pouvait espérer mieux !

GARE A LA SURENCHERE !!!

Pour éviter le télescopage, nous pourrions toujours parier sur un enlisement des assises, ce qui au vu de leur dynamisme actuel, serait un pari tenable.

ERREUR!!!

Car ici s’invite un autre scrutin, national celui là. Les législatives 2012.

Madame Rousseau, Vice-présidente Recherche et Enseignement Supérieur, sera candidate dans la
21ième circonscription du nord,  c'est-à-dire chez nous, même si ce dernier point n’a pas d’importance en soi.
Par contre, ce qui va être important pour Madame Rousseau candidate, sera de réussir son second gros dossier, puisque pour le PIA c’est globalement raté. Il y a, de fait, une obligation de réussite, et il ne reste que quelques mois pour la remplir!  

En conséquence, gare au manque de mobilisation, car quelle que soit la participation et malgré le peu de temps restant, il y aura un schéma régional d’enseignement supérieur et de recherche. Il en va de la crédibilité d’une Vice-présidente candidate, qui est maintenant assistée pour maîtriser son ouvrage. Mais peut être ce dernier point est-il en rapport avec la dite candidature?

En résumé, les assises au travers d’un petit calendrier.
Juin 2011 : lancement officiel
Second semestre 2011 : rien
Fin d’année 2011 : investiture de Madame Rousseau pour les législatives 2012
Janvier 2012 : apparition publique d’un assistant à la maîtrise d’ouvrage
Février 2012 : démarrage probable (avec six mois de retard)
Juin 2012 : élections législatives
De février à juin 2012 : Assises + schéma régional+ campagnes électorales universitaires+campagne  électorale pour Mme Rousseau = précipitation+embouteillage+confusion des exercices+beaucoup de dangers mais également beaucoup d’opportunités (pour rester positif)!

Gare surtout à ne pas nous faire voler notre autonomie dont il faut cependant bien reconnaitre que pour le moment nous ne savons pas réellement quoi faire. Son aliénation, totale ou partielle, au détour d’assises précipitées et du schéma régional qui en découlerait nous priverait à coup sûr de notre capacité à décider librement de l’avenir dont nous voulons nous doter.

En conclusion, malgré l’arrivée des « pros » et l’apparente sortie de l’apathie, les Assises régionales de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche conservent leur triple A (perspectives stables) avec cette fois
A pour l’Anachronisme passé
A pour  l’Anachronisme présent
Et à partir de maintenant A pour Assistées !